2015 janv. 12

Ville ou campagne ?

Troupeaux de fossé
Aller de l'hôtel au bureau à Djallalabad, c'est une promenade à la campagne. Les gamins se pressent le long des routes vers leur école. Les boutiquiers étalent leurs légumes. Les moutons encombrent les bas-côtés de canaux comblés de détritus.

Embellissements jallalis
Les porches sont aussi brillamment décorés qu'une mosquée classique, comme si les propriétaires s'achetaient une indulgence de l'origine de leur opulence.

Quand, d'aventure, on discute avec une fière assemblée de représentants de villages éloignés, on découvre des cœurs sensibles et tendres, prêts à verser quelques larmes d'enfant quand on leur projette une histoire d'offense et d'honneur qui se termine bien...

PS: Pendant que vous marchiez, je travaillais... Et la presse afghane publiait des soutiens... comme ici la couverture du quotidien Hasht-e Soubh (huit heures du mat...): Azadi bayan na me-mord! La liberté d'expression ne meurt pas !
Couverture Hasht-e Soubh

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